Les pérégrinations d'un druide...

Puisque personne n'a l'air décidé à poster dans cette partie du forum, je me lance ! Je pose la première pierre en vous narrant ici quelques péripéties de mon personnage, mais attention, ce n'est pas du Proust

J'attends vos réactions. Vous pouvez <A><Me complimenter> <B><M'encenser> <C><Crier au génie !> <D><la réponse D>


Nan je plaisante ! Allez, let's go !


La nuit venait à peine de tomber sur le camp de la Capital Risk que déjà elle semblait durer une éternité pour

le pauvre troll qui montait la garde. La douce brise nocturne le berçait, l'invitant à sombrer dans un profond

sommeil. Soudain, une étrange sensation l'arracha à sa torpeur, et le troll serra le manche de sa hache.

Aiguisant ses sens, il voulut comprendre ce qui le troublait de la sorte, et plongea son regard dans l'obscurité,

vers ce qu'il restait de la forêt que lui et les siens mettaient tant d'ardeur à défricher. L'espace d'un instant,

il lui sembla apercevoir un regard qui luisait dans les ténèbres, lorsqu'il regarda à nouveau, plus rien. Il mit cela

sur le compte de la dure journée qu'il avait eu. Rasséréné, il laissa la fatigue reprendre ses droits. A peine

avait-il fermé les yeux qu'il les rouvrit aussitôt, portant son regard vers son ventre. D'un coup de griffe rageur,

Eärelas venait de lui dessiner une plaie béante sur l'abdomen. Les entrailles du troll se déversèrent

abondamment sur le sol. Ce dernier jeta vers le druide un regard où se lisait non pas tant la douleur que

l'incrédulité. Etouffant un gargouillis, il s'écroula sur le sol tandis qu' Eärelas se fondait de nouveau dans la nuit.




Plus tôt dans la journée, le druide s'était vu confier par ses maitres la dure mission de mettre un terme aux

agissements de la Capital Risk. Il venait de saboter la scierie où tant d'arbres millénaires avaient péri, et à

présent, il allait donner la mort au chef de ces bucherons sans foi ni loi, une mort aussi inéluctable que le

cycle des saisons...Se dérobant au regard des hommes qui patrouillaient dans le camp, il pénétra sans un

bruit dans la tente du chef. Ce dernier n'arrivait visiblement pas à trouver le sommeil, peut être agité par

le vague pressentiment de sa mort à venir. Eärelas aurait pu mettre en quartier cet homme sans que jamais

un seul cri de douleur ne jaillisse hors de ses lèvres, mais c'était sans compter sa haine longtemps contenue,

haine mêlée d'une irrépressible soif de vengeance : Il voulait lire la peur et la douleur dans les yeux de cet

être abject. Profitant d'une occasion où l'homme lui tournait le dos, Eärelas se mua en un ours aussi énorme

qu'imposant. Quand le chef de la Capital Risk se tourna de nouveau vers lui, il plongea ses yeux d'ours dans

ceux de l'homme. Il y vit passer la surprise, l'incompréhension et, finalement, la peur. Eärelas se délecta de ce

regard. Puis il leva sa patte vers le ciel et frappa. A travers lui, c'est la nature entière qui semblait réclamer

vengeance. Il frappa, frappa, et frappa encore. L'homme hurla de douleur, alertant les gardes en faction

devant sa tente. Dégainant leurs épées, ils se jetèrent sur cet ours qui venait de faire de leur chef une masse

de chairs sanguinolentes. Trop lent. D'un coup de griffe, ils sombrèrent dans un sommeil dont ils ne devaient

jamais se réveiller.




Cette mise à mort sanglante avait éveillé le camp. Eärelas eut volontiers décimé ces bucherons jusqu'au

dernier, mais il devait rapporter à ses maitres le succès de sa mission : sans chef, nul doute que ce ramassis de

brigands s'effondrerait. Il prit donc la fuite, poursuivi par les soldats de la Capital Risk. Se muant en un guépard

vif et élancé, il essaya de distancer ses poursuivants. Mais bien vite, il se trouva presque entièrement cerné,

tant les hommes étaient nombreux. Les bucherons le contraignirent à trouver refuge sur une falaise. Acculé,

Eärelas repris sa forme d'elfe tandis que les hommes, orcs et trolls de la Capital Risk s'avançaient vers lui,

avides de vengeance. Lorsqu'ils furent arrivés non loin de lui, ils virent avec stupeur un sourire narquois se

dessiner sur ses lèvres. Tout à coup, Eärelas se laissa tomber du haut de la falaise. Tendant les bras, il goûta

la caresse du vent sur son visage. Il ne restait plus que quelque mètres avant l'impact qui lui serait fatal

quand il se changea en un corbeau noir comme le jais, coupant court à la joie que les bucherons

manifestaient bruyamment après avoir défait un tel ennemi. Eärelas leva les yeux vers la lune pleine et goûta

l'un des rares moments de paix qu'il lui était donné de vivre. Il plongea ensuite vers le sol ravagé par les

machines de la Capital Risk. Du ciel, on ne voyait guère que quelques souches carbonisées qui seules avaient

résisté à la tourmente. Mais en s'approchant de plus près, il vit que de petites touches de verdure

commençaient à poindre ça et là sur cette terre meurtrie. Dorénavant, les arbres pourraient grandir à l'abri

des tourments de ce monde, porteurs d'espoir en des lendemains meilleurs...


j'espère que ça vous a plu ! ( ) Je reposterai d'autres aventures si des idées me viennent.

BIG UP

J'aime beaucoup. ^^ Content de voir quelqu'un se lancer. (surtout que c'était moi qui avait voulu la création de cette partie du forum, mais... euh... pas vraiment eu le temps de me consacrer à l'écriture ces derniers temps. )

C'est votre ultime bafouille ? Merci pour les compliments ça fait plaisir.

Au fait, il se peut qu'il y ait des problèmes avec la mise en page. J'ai voulu sauter des lignes donc il est possible que sur les écrans dont la résolution est inférieure à 1024x768, il y ait des coupures qui ont l'air totalement aléatoires dans les phrases, c'est normal. Comme le forum ne permet pas de sauter des lignes, j'ai du faire ça moi-même, à la tronçonneuse...

A venir : un truc qui ressemble pas à grand chose mais dans lequel je vais essayer de vous tirailler les zygomatiques

Bonjour, l'ambiance de ces derniers jours n'es pas tellement à la rigolade donc ce n'es pas forcément le bon moment d'écrire ce post mais j'ai toujours eût envie de le faire.

Hé non, Eärelas n'es pas le seul Druide poète de cette guilde .

Je n'es jamais osé écrire quelque chose sur ce post de peur des moqueries mais bon je n'avais pas grand chose à faire cette après midi et je me suis lancé.
J'ai prit du plaisir à écrir ça donc je m'en fiche si ça ne plait pas.
Soyez indulgent s'il vous plait je ne suis surement pas aussi bonne écrivain que le main nounours mais je vais faire de mon mieu

Les premiers rayons du soleil illuminaient la forêt de Térokkar ce qui signifia pour le jeune guerrier la suite de son périple…
Il avait été chargé, par les officiers du bastion Allérien, d’assassiner le monstre « Grouillemort » qui terrorisait les villageois depuis plusieurs mois.
Repartant triomphant, mais meurtrie par de grave blessures, de son combat face à la bête il retourna à la ville, son trophée dans son sac, pour réclamer son dû.
Le jeune aventurier boiteux, était épuisé et utilisait alors ses dernières forces pour retourner auprès des siens à quelques lieux de son bivouac.
Mais c’est alors qu’un bruit suspect retenu son attention puis tout à coup, sans qu’il eût le temps de riposter, un loup aussi enragé qu’un démon venu de l’enfer lui asséna un coup de croc à la cuisse.
Tandis que la puissante mâchoire de la bête transperçait peu à peu son armure, il dégaina se qui lui restait de son épée et tenta de transpercer son adversaire… en vain.
Le loup lui broya alors le bras sans pitier, saisit l’abdomen de sa proie et pénétrait le corps de son futur repas.
Le jeune guerrier sentait la fin arrivée, il se vidait de son sang et ses yeux étaient sur le point de se refermer pour la dernière fois, il se disait « Est-ce la fin ?… ».
C’est alors qu’un bruit sourd retentit dans la forêt et une présence presque divine pesait sur la scène du combat.
Petit à petit une vie nouvelle naissait à l’intérieur du combattant à moitié mort, il se sentait renaitre, ses plaits se refermées, ses muscles se régénérés, son cœur battre la chamade, son corps était plus puissant que jamais…
Ce miracle inespéré, c’est la nature qui lui en faisait cadeau.
Il frappa la bête de toute ses forces la projeta alors à plusieurs mètres lui fracassant plusieurs côtes au passage.
La force du soldat semblait immense, et sa rage interminable.
Il leva son poing, alla porter un coup fatal à l’animal au regard implorant la pitié mais c’est alors qu’une étrange magie fit poussé de puissant racines qui piégèrent les membres de l’aventurier et lui empêcha tout mouvement, le loup en profita alors pour s’enfuir dans la broussaille.
Après avoir remporté ce combat qui semblait perdue d’avance, il examina les alentours essayant de découvrir l’identité de son mystérieux sauveur.
Mais rien.
Pourtant cette présence était toujours là, très proche.
Il n’aperçu qu’un vieux corbeau posé sur la branche d’un arbre et qui contemplait le guerrier, de ses yeux sombre étrangement remplie de sagesse.
Après plusieurs heures de marche, le jeune aventurier arriva dans son village, son armure en morceau mais aucune blessure ne se percevait sur son corps.
Il apporta son trophé aux capitaines du bastion, conta son aventure et expliqua que la nature lui avait offert une chance.
L’elfe fluette du conseil répondu alors de sa douce voix « Cette chance se nomme Aénarion,le sauveur elfique ».

Voilà, si vous ne vous êtes pas déja endormie devant votre pc vous avez le droit de faire un petit commentaire pas trop méchant
Ps: Désolée pour les fautes d'orthographe

Mdr trés joli petite histoire Aé^^

Mais tres belle histoire Ae merci de t'etre lancé, ca vaut vaut la peine

Vi, tu ne devrais pas douter de toi, c'est très prometteur!! A quand la suite?

En effet, j'attends la suite avec grande impatience ^^

C'était bien sympa, Aé! ^^ J'espère pouvoir lire plus de ta part.

Coming soon...
Oui bon, un an après je me suis dit que ce serait plutôt pas mal de dépoussiérer ce post et de rajouter uneuh petite histoire. Une légère inspiration mais ça devrait arriver bientôt.

Voilou, comme promie un petit texte de ma composition Il est un peu long et je dois l'avouer peut être un peu lourd mais j'espère que vous allez quand même l'aimer parce que, même si j'ai pris du plaisir à l'écrire, j'y est pas passer 5 min, croyez moi

Mon nom est Nillem. Il y a quelques mois, j’ai été envoyé par Hurlevent en Norfendre pour combattre le Fléau comme la plupart des hommes du royaume. Pour la gloire de l’Alliance, nous avions laissé nos femmes et nos enfants derrière, sans défense.

Il faisait nuit, mais l'aube n'allait pas tarder. Mes compagnons et moi-même n’étions pas encore habitué à ce genre de climat : la température glaciale qui régnait sur la Désolation des dragons était telle qu’il ne fallait en aucun cas rester dehors sans bouger plus de quelques minutes… sous peine d'avoir l'impression d'être congeler vivant.
De ma tour de garde, je scrutais l’horizon. M’échappant par diverses pensées, je me demandais si un jour j'allais revoir ma famille... mais ce qui était sûr, c’est que je le saurais aujourd’hui. C'était un jour décisif, tout le bastion Fordragon en retentissait : l’attaque d’Angrathar allait avoir lieu; la bataille qui décidera du destin de cette guerre qui dure depuis déjà bien trop longtemps.

Le cor de bataille résonna pour appeler tous les soldats à prendre les armes et à se préparer pour l’assaut. Ce bruit fut comme un signal d’envoie à l’abattoir pour moi... car oui j’avais peur, très peur. Même en étant armé jusqu’aux dents, je frissonnais d’angoisse rien qu’à l’idée de combattre ces êtres de chair et d’os difformes possédant des yeux aussi vide que l’abîme. Le Roi Wrymm lui-même nous faisait l’honneur de combattre à nos côtés : cette présence, cette assurance... on aurait dit un esprit des Dieux piégé dans une enveloppe humaine et rien qu’à sa vue, je me sentis plus fort, plus courageux. En quelques minutes, toutes les troupes étaient rassemblées aux pieds du bastion, parfaitement rangées, attendant les ordres du Généralissime Bolvar. Je vis son regard, emplie de confiance, scruter les rangs un par un, mais toutefois sans rien déclarer. Il ne nous fit aucun discours pour remonter le moral de nos troupes comme le ferai d’habitude n’importe quel meneur avant chaque attaque. Non. Lui, il examinait. Il fallait tout de même avouer que même sans ce banal rituel, tout le bataillon se sentait prêt pour l’affrontement : avec Bolvar pour mener l’attaque, à aucun moment le doute ne se fit sentir. Ce petit test dura une dizaine de minute puis le Roi Wrymm sortit son épée brillant de mille feux de son fourreau en or massif, se tourna vers la porte gargantuesque de la forteresse Noire et ne jeta alors qu’une injonction… « A l’attaque ».
La terre trembla sous le pas sûr et déterminé de notre compagnie et la confrontation commença avec un coup fatal de l’épée du Roi tranchant la chair pourrie d’un de ces monstres hideux.

La bataille faisait rage, mais nos pertes étaient pratiquement inexistantes face à nos adversaires ployant un à un sous notre courroux vengeur. Ils tombaient comme des mouches, décimés. Ils choyaient mais sans pour autant diminuer de nombre. Je me battais avec une rage immense, avec un seul espoir : revoir un jour ma famille. Cela suffisait largement à développer mon ardeur.
Au moment où nous pensions avoir un avantage certain sur l’ennemi, un chant sinistre tout droit sorti de l’enfer jailli de la porte noire. Je tournis alors mon regard vers ce bruit menaçant et aperçu les troupes de non-mort ennemis battre en retraite dans leur citadelle ténébreuse pour en voir ressortir une abomination nouvelle à mes yeux : ils étaient semblables à des Vrykuls aillant perdue toute vie et dont le corps était corrompu jusqu’au plus profond de leurs âmes.
Je sentais que leurs intentions étaient mauvaises et mon pressentiment fut confirmé quand ils entamèrent leur marche funeste. Ils étaient rapides, très rapides : ils fondirent sur nous telle des ombres meurtrières et abattirent nos troupes, sans scrupule. Nos hommes résistaient et contre-attaquaient, mais sans leur infliger de dégâts notables. C’est alors que deux d’entre eux attaquèrent mon régiment. Nous étions en supériorité numérique mais je lisais dans leurs regards obscurs une confiance absolue. Ils tranchèrent, découpèrent, sans résistance, le corps de mes camarades. J’assistais, impuissant, à cette scène cauchemardesque ; je voulais me réveiller de ce mauvais rêve mais il n’en était rien: tout était bien réel. Des cris de souffrances et de douleurs m’envahissaient. Ces créatures inhumaines s’approchaient peu à peu de moi, faisant fuir la chaleur de leur aura de mort, et destinée à une seule chose : tuer. J’étais figé sur place, tout d’abord par la peur, la terreur et enfin l’horreur. L’angoisse me serrait la gorge, étouffant un cri d’effroi et la stupeur me clouait au sol. Ma réaction, aussi désespérée soit-elle, fut de fermer les yeux, serrer les dents et attendre que la mort vienne me prendre de sa main impitoyable. Cet instant sembla durer une éternité.

Un bruit, un sursaut… étais-je mort ? Je rouvris mes yeux baignés de larmes découvrant la scène improbable qui s’offrait à moi. Mes attaquants étaient immobiles : l’un d’eux, au sol, le thorax calciné, et l’autre piégé dans d’imposantes racines. Un brouhaha de foudre gronda et une masse de brume dense se créa au-dessus de leurs têtes, abattant éclair et foudre. Des cris : Ils criaient non pas de douleurs, mais de dégoût et de colère face à leur ennemi invisible. Bien que meurtris par leurs diverses blessures, ils n’abandonnèrent pas leurs missions et continuèrent d'avancer, plus déterminés que jamais. Un faisceau, droit et d’une précision chirurgicale, leur transperça le crâne dans un long silence puis leurs corps brûlèrent ne laissant d’eux qu’un tas d’os noircis et de chair carbonisée. Cette scène me laissa stérile, sans aucune sensation apparente. Je ne fis même pas attention au nouveau spectacle surprenant qui se déroulait sous mes yeux : Les forces de l’Alliance se battant aux côtés de la Horde dans une bataille sanglante qui opposa une certaine résistance et enfin repoussa pleinement la vague du fléau. Je repris mes esprits quelques minutes plus tard, mais ne réalisant toujours pas ce qui venait de m’arriver, et sans prendre le temps de repenser au miracle qui venait de se produire devant moi.
Je retournais à mon rôle de soldat impassible, repoussant, par nos forces combinées, l’armée du fléau jusque dans ses derniers retranchements. Une fois cette armée secrète mise hors d’état de nuire, le Généralissime Bolvar, dont l’armure et le corps ne semblaient en aucun cas sortir d’une bataille meurtrière, jeta un regard foudroyant à la forteresse et réclama son dût : La venue du Prince déchut, Arthas Ménéthil.

La paroi titanesque s’éleva de nouveau dans un bruit de mécanique funeste, laissant apparaître une silhouette humaine. Je m’approchais alors pour apercevoir notre nouvelle ennemie et m’aperçu alors qu’IL était là. Le prince non-mort, d’une taille anormalement supérieure à celle d’un humain, couvert d’une impressionnante armure impie, qui représentait pour toute race confondue la fin de toute vie. Sa voix inhumaine fut tranchante comme un rasoir à mes oreilles et me fit frissonner d’effroi. Je redoublais alors de peur lorsque je vis se relever d’entre les morts nos propres hommes tombés au combat, revenus par une simple formule du Roi Liche, réintégrant le monde des vivants pour faire choir ceux qui étaient les leurs quelques heures auparavant. C’est alors que, l’interrompant dans son discours, le seigneur de guerre Orc, prit de rage, ne pensa qu’à sa vengeance et chargea dans un hélant de colère… en vain.
Profondément choqué par la chienne de mort que notre sauveur venait de subir, je sursautais alors quand une voix irréelle retentit au plus profond de ma tête.
Elle disait: « Jeune humain, je suis l’être auquel tu dois la vie. Mais sache que cette dernière n’a pas été sauvée par hasard, elle servira à plus d’un exploit dans un futur proche. Mais présentement, il te faut fuir pour éviter une mort traître et douloureuse. Marche, court, vole. »

C’était un ordre catégoriquement immoral et donc impossible pour un soldat de ma trempe ; refus s’en suivit. Le timbre du seigneur du mal pénétrait nos corps comme une lame et résonnait tel un glas. C’est alors que ce supplice fut interrompu par une explosion au loin. Un mort vivant, serviteur de Sylvanas fit alors son apparition sur le flanc de la montagne et entama un discours auquel je n’entendis que le commencement, la voix ne m’en laissa pas le temps et retentit de nouveau:
« Ton déni envers ma proposition m’offense, malgré le fait qu’elle soit compréhensible. Mais puisque c’est ainsi, tu partiras de force, jeune humain borné ».

C’est alors qu’une énergie pure m’oppressa, se mit à tourbillonner puis à transgresser les règles spatiales pour m’emmener vers une destination inconnue par une voie stellaire jusqu’alors sûrement inexploré.
A mon arrivé un être de la nuit, un Elf au corps de centaure, m’accueillit et me renseigna sur le lieu où je me trouvais : une ville cachée de druide, perchée sur un mont de Kalimdor du nom de Reflet-de-Lune ; j’appris que le nom de mon sauveur était Aénarion, un druide apparemment assez réputé à travers Azéroth et l’Outreterre. Me retrouver au rang de déserteur pour ma patrie de l’Alliance était une honte sans limite pour moi. Lorsque je demandas ce qui était arrivé à mes camarades de front à l’être du « rêve d’émeraude », comme ils se nommaient entre eux, sa réponse fût dites sur un ton léger et doux, avec une once d’arrogance comme ce peuple aimait le faire:
« Ils ont tous trépassés. Sans exception. Empoisonnés par traîtrise... et finalement brûlés dans les flammes célestes.»

Tadaaa. J'espère que vous avez apprécier et n'hésiter pas à faire quelques commentaire.

PS : Un gros gros merci à Plumes qui m'as bien aidé à corriger certaine Lacunes de mon texte ^^

Je suis déçu que tu ne m'est pas demandé de te corriger aé^^
Mais appart sa encore une fois trés joli histoire et gg pour le travail que sa a du demandé

Ecrit une histoire Dav, je voudrais voir ça.

gg Aé! ^^